L'entretien des ombres.

Par cette journée comme les autres aux royaumes souterrains, aux royaumes noirs, il circulait une rumeur qui voulait que le chef des démons avait fait un "pacte avec le diable". Ce pacte voulait que que Melfick ait un pouvoir de plus pendant son existence, et son âme serait livré au diable lorsqu'il mourra. Lorsque ce diable, qui servait en fait sous les ordres de Melfick, le chef des démons, aurait su qu'il venait de se faire usurpaté, car il savait bien que Melfick serait le dernier démon à mourrir. Mais cela était la rumeur, et elle commençait déjà à se répandre en légende.

Mais chaque rumeur, chaque légende pars en quelque pars d'un fait réel.

Par cette journée comme les autres, sombre dans le royaume des sombres, la rumeur qui circulait était parti du fait que certains démon avaient vu Melfick Varagon, l'archidémon-au-service-de-sa-majsté-la-reine-des-ténèbres, dans un habit qu'il n'avait encore jamais porté. Certe, la cape noir qu'il portait était habituel, et le capuchon rabattu sur sa tête était normal, mais la fourrure qui dépassait de l'encolure et de tout le contour de la cape était inhabituel, et son pas était trop régulier et déterminé. On vont à se demander si il avait des problèmes.

Melfick se dirigeait en fait vers la résidence de la déesse noire, et il avait une idée précise de se qu'il voulait y faire. Il avait changé d'habits, et avait préféré pour l'occasion une cape de fourrure, car tout le monde sait que le palais divin se trouvait juste à coté du désert de glace. Il avait aussi pris une armure de métal, chose aussi inhabituel, dont les jambière des tibias abordait de larges têtes de mort coulé et modélé au rouge. C'était la seule pièce de l'armure qu'on voyait en plus des gants dont un morceau de métal protégait chaque fallanche. La grande cape noire couvrait le tout, y compris la figure et les armes.

Lorsqu'il arriva au palais, il comtempla rapidement les grandes portes de chêne massif, et leva deux fois le cognoir qui se trouvait sur la porte droite. Avant même qu'un démon de classe mineur daigne de lui ouvrir la porte (Les audiences avec la reine était rare, et devait être pour de très bonnes raisons.), l'Archidémon avait déja le pied sur l'emplacement habituel des portes, et celle-ci était grandes ouvertes. Le petit démon cornu qui avait usé de la patience déjà très friable de l'Archidémon tomba à genou en voyant Melfick le regarder d'un air comdamnateur. Incapable de supporter le regard de son supérieur, il avait baissé la tête, et ses bras était au même niveau que ses genoux, touchant très volontairement la pierre froide qui faisait office de plancher.

Melfick releva les yeux au moment ou il se souvint précisément la raison de sa venu. Il prit le petit démon par le colet (Melfick mesurait environ 10x la grandeur de l'employé aux portes.) et l'envoya se fracasser contre la deuxième paires de portes, celle-ci faites de métal, gardant l'accès au throne d'ébène. Le bruit que fit sa tête sur le métal fit sursauté la déesse qui était seule et dans ses pensées. Deux secondes plus tard, Melfick Varagon entrait dans la plus grande salle du palais, tenant par une de ses mains le colet du démon mineur, qui avait préféré se laisser tombé dans l'inconscience.

-Il ne fesait pas bien son travail.

Puis, il le retourna valser près du bureau, dans la première salle, et referma les lourdes portes de fer, les laissant dans l'intimité.

-Ma déesse, j'ai quelque chose à vous demander.

Il mit alors un genou à terre, reposant celui-ci sur la pierre froid que le minable employé avait failli embrasser. Kyrika pu alors avoir une idée imprécise de la raison de sa venu, car le protège genou qui avait été coulé dans la même pièce que celle qui recouvrait son tibia jusqu'à son pied était en fait une forme parfaite de tête de mort humaine. L'Archidémon attendit passiament si la reine des ombres allait accepter son offre d'entretiens. Il ne fit aucun geste avant que la déesse commença à parler.

Kurika s'était enfermé dans la sale de trône depuis quelques heures. elle réflichissait comment elle allait retrouver l'homme qui avait essayé de la tromper. celui-ci avait tenté de lui voler des pièceas d'or lors d'une entente avec le diable, la déesse et ce stupide mortel. l'entente était de donner un montent de 500 pièces d'or pour qu'il puisse avoir le pouvoir d'enlever les âmes des corps. le diable devait débourser 250 pièces et la déesse l'autre moitié. quand l'homme qui en faite, était un elf noir, eût en possession l'énorme bourse, il usa d'une formule magique pour se volatiliser sur a terre. le diable fou de rage non pas pour les pièces d'or mais pour la traïson de cet elf. il voulait absolument qu'il puisse prendre l'âme d'une personne en particulier. c'était celle d'un homme qui avait réussi à tromper le diable lui même. il avait promis son âme pour des pièces d'or. il lui dit qu'il venderais son âme cinq ans aprêt qu'il ait remplis un sac de pièces d'or. l'homme était monté dans la plus haute tours de sos château et avait fait un trous dans le sac pour que les pièces d'or ne ppuisse pas remplir le sac à moin de faire une énorme montagne on monter jusqu'au maximum de la capacité du sac. quand les pièces commençaient à tomber du ciel, sathan compris qu'il s'était fait piégé. avec cet elf noir, s'était la deuxième fois. Kyrika voulait aussi prendre ces deux âmes personnellement dans son château et les envoyer dans la sale de torture éternel. dans cette sale, on ne peut mourir. par contre on peut se faire torturer jusqu'a la fin des temps. si on arrache ses membres, il sentira la même douleur qu'un vivant, par contre, il se recolera quelques secondes plus tard. mais avant de penser à ces choses là, elle devait travailler à savoir: comment le retrouver?

C'est alors qu'elle sentis un de ses serviteurs arriver. il était à des kilomètres de là mais il arrivait. il marchait d'un pas ferme et décidé. on aurait dit qu'il avait besoin de quelque chose. ça avait l'air de quelque chose d'important. pas quelque chose qu'elle acorderait à n'importe qui. quelque chose de puissant et destructible. quelque chose qui serverait à détruire l'humanité de la bonté. en plus cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas vu ses serviteurs. surtout ses tueurs d'élite noirs.
La déesse s'attendait alors à l'arrivé de son alier mais elle replongea dans ses idées. peut-être pourrait-elle envoyer sa petite armée d'ombre? cette armées était une race très rare disparu du monde des vivants et des morts depuis bien des siècles. avec ses pouvoirs divains, elle réussis à en recruter une centaine. la divinitée sourit. c'est ce qu'elle allait faire. ordonant à un de ses serviteurs d'aller chercher son armée elle attendit son autre serviteur, Melfick Vargon.

Quelques minutes sa petite armée arriva sans dire un mot. la race des ompres ne pouvaient comuniquer. ils intégraient au corps à qui ils voulaient parler, et la personne vois tout ce que l'ombre lui comuique tout son message. cette race a aussi la capacité de se transformer à volonté. ils pouvaient autant se métamorphoser en objet qu'au plus mignon des enfants. c'est pourquoi ils sont de si bons tueurs.

- Allez, tuez-moi ces deux traitres. vous serez récompensés en conséquences. allez, et ne revenez pas sans avoir accomplis votre tâche et sans avoir apporté les âmes de ces deux êtres.

quand la femme finis sa phrase, les ombres se discipèrent au même moment ou un bruit se fit entendre. s'était la fracture de quelque chose sur la deuxième paire de portes de métal qui protéjait la sale du trône. Kyrika leva la tête pour voir un de ses petits serviteurs de pacotille.

"je savait que ces petits démons de poubellesn'allait servir à rien!"

la déesse reconu aussitôt le visage de Melfick, son humble serviteur. il s'aprocha d'elle sans dire un mot. celui-ci portait une splendide armure en fer forgé. elle semblait légère et très robuste. des têtes de morts étaient bien visibles sur le métal gelé à cause de la température glaciale de l'extérieur. l'archidémon s'agenouilla calmement. sa manière de se prosterner était plus gracieuse que les autres, il posait un seul genoux sur le sol tout en baisant la tête. celui-ci avait évidamment une requête à faire. on ne devais surtout pas déranger la déesse pour rien. ça pourrait être la dernière chose que la personne ait fait. il lui dit qu'il avait quelque chose à demander.

- vas-y, je t'écoute...

répondit sèchement la femme. elle n'avait pas beaucoup de temps à lui accorder, elle avait d'autres choses à faire!

Melfick Parlait d'une voix grave et respectueuse. Il ne leva pas la tête, car il savait que la déesse rêvait d'envouter tout ceux qui se présentaient dans sa salle personnelle. Il garda donc les yeux au sol, tout en projetant sa voix forte dans toute l'immensité de la pièce divine.

-Ma reine, vous qui avez le pouvoir de cétruire plus que de créer, je vous demande toute fois une faveur qui concerne le deuxième champs d'actions. Ma souveraine, Vous qui avez les pouvoirs sur les morts plus que sur les vivants, ma demande se situe cette fois ci dans votre champs d'action le plus grand. Ma déesse, vous qui avez le pouvoir sur vos sujets, je vous demande aussi de me faire le premier général contre les forces qui nous opposent. Mais ma première demande ne concerne uniquement moi. J'aimerai que par vos pouvoir, vous me donnier l'opportunité de faire revivre les cadavres que j'aurai moi-même tuer, pour qu'ils servent sous mes ordres, et sous mes ordres seulement, pour votre gloire, et notre conquête.

Melfick Varagon fut parcouru d'un frisson de peur lorsque sa demande fut alors terminée. Il avait un peu peur que la déesse ne le prenne pour un fou qui demandait l'impossible. Il ne l'aurait jamais fait, mais le mal a tendance à faire plus de ravages que ce que l'on pense premièrement. Il attendit alors avec patience et impatience pour que la déesse réfléchisse de façon adéquate.

(HJ: Lit comme il faut le post, et n'ait pas peur de le relire, car "L'Homme ne retient que 10% de ce qu'il lit". Juste te dire de faire attention pour ne rien oublier.)

Melfick était à genoux. mais d'une manière plus respectueuse que ses autres serviteurs. ça s'était un vrai combattant du mal. respectueux envers ses supérieurs et sans pitié au combat pour ses adversaires. il était rare de trouver d'aussi vaillant serviteurs de nos jours. la plus part se croient tout permis. il se maittaient le doit dans l'oeil. et encore plus loin avec Kyrika. si jamais une personne, que ce soit de son propre clan ou du clan de la lumière, lui manquait de respect, cela pourrais être la dernière chose que cet être ait fait.

Melfick lui posa une question. il lui dit qu'elle pouvait mieux détruire que créer. sur ce point il avait tord. elle avait d'aussis grand pouvoirs sur la destruction que sur la construction. la pluspart des gend croyaient cela car il était rare qu'elle fabriquais des choses. et encore plus rare d'autres races. elle faisait ces choses seulement si elle en avait besoin. et encore une fois, elle en avait besoin rarement. non seulement par sa propre puissance, mais aussi avec la puissanse de ses créatures déjà existantes et à la rapidité auquel ils se reproduisaient. son serviteur continua sa question. il lui demanda d'être premier général contre les forces du bien. jusque là, se n'était pas grand chose. pourquoi l'avait-il d.rangé pour cela? s'était inacceptable. elle faillis l'arrêter et le faire sortir de son château à coup de dague mais celui-ci n'avait pas fini. il lui demanda aussi d'avoir le pouvoir de faire revivre les cadavres qui leur avait lui-même enlevé la vie, sous ses ordres seulement. hmmm... sous ses ordres seulement. vu son encienneté dans son clan elle pouvait surement lui accorder cette faveur. son umble serviteur attendait pascemment sa réponse.

- vu ton enscienneté dans mon armée et ta dévouence envers moi, je suis prète à t'accorder ce nouveau pouvoir. mais sache ceci: rare sont ceux qui ont puent se faire accorder un pouvoir par moi, et encore moin ceux qui, je ne puis. tu est un des rare qui contrôlera par toi même un povoir puissant. maintenent, relève toi que je puisse t'accorder ce nouveau dont.

quand celui-ci se releva, Kyrika se leva de son trône et s'avança vers Melfick dague à la main. elle l'avait subtilement retiré de son fourreau pendant qu'elle lui parlait. rendu à proximité de lui, elle lui planta sauvagement la dague démoniaque dans l'estomac. elle le poignarda plusieure fois et beaucoup de sang coulait. la douleure était si intence, qu'il fit crier très longtemps Melfick. lorsque la divinité eut finis de le poignarder, son serviteur s'effondra lourdement sur le sol. il tenait apeine sur les genoux.

- maintenent, soit fièr de ton nouveaux pouvoir, soit fièr de ta déesse, toujours tu combatera pour celle-ci et tu le fera jusqu'à la mort. soit fort face à tes enimies, assassine-les pour reprendre leurs corps sans vie et détruit les plus faibles!

les blaissures du tueur d'élite se refermèrent lentement, ce mouvement brusque, hors de contrôle du métabolisme de son serviteur, le fit encore une fois soufrire, mais cette fois-ci, encore plus. Kyrika s'avença encore une fois un peut plus proche de Melfick et lui donne une énorme giffle avec le dos de sa main, ce qui le vit tomber.

- et ceci pour ne pas l'oublier...

(je vais rajouter le nouveau pouvoir dans ta présentation. répond un dernier message ici et va dans la forêt comme je te l'ai déjà demandé)

Melfick pris un moment pour se relever. Mais lorsqu'il le fit, il le fit avec fierté, une fierté cruelle envers les victimes de se pouvoir accordé par la déesse qu'il vénérait. Plusieurs idées germèrent dans l'esprit de Melfick, ce qui le fit sourrire. Il perdit son sourrire en se rappellant les devoirs qui venait avec cette capacité. Il fit demi-tour vers le massives portes de fer de la salle du trone. Arrivant à l'endroit ou les portes sont lorsqu'elles sont fermées, Melfick retourna son regard vers la déesse, et lui lança comme salut et remerciments :

-La première chose que je fairait, c'est me trouver un second pour m'aider à organiser mes nouvelles responsabilités. Je ne voudrait pas vous décevoir, ma Reine.

Puis, il ferma les portes de la salle, et disparu une fois sortit. Ce qu'il avait dit était en partie vrai, mais il y avait un détail qu'il n'avait pas souligné. Il allait en fait se choisir une seconde...