C'est ici que tous va commencer...

(désolé d'être michante, mais dans se topic svp j'aimerais avoir au moins 10 lignes pleines par poste, merci beaucoup!)

Douce nuit noire au étoiles étincellantes, tu nous appartiens...

Le ciel était clair, aucun nuage ne voulait troublé la sinistre arrivé d'Ellana sur Terre. Pas un oiseau, pas un seul prédateur. Seul le vent souffant traîtrement dans la vallée qui servait de siège à cette forêt maudite... Les ombres des nombreux feuillus se détachait lourdement sur le sol, dans une sorte de valse d'inquiétude. Qui pouvait bien troubler la douce harmonie du soir?

Une sombre silouette s'avancait sans le moindre bruit entre les branches noueuses des arbres. Celle-ci semblait, si on regardait de plus pret, s'éloigner le plus possible de la silouette qui dégageait un aura si sombre que le moindre brin d'herbe ressentait sa venu... et sa, à un bon kilomètre...

Se fondant dans le décors étoilé, marchant sur une terre à peine foulée. Ellana s'arrêta, respirant l'air doux et frais d'une nuit de printemps. La cape qui dissimulait son pâle visage tomba sur ses épaules suite à une rafraichissante brise. Les yeux noirs et pronfond de la jeune femme se répercutaire sur les alentours comme seux de faucon. LEs larmes de sang à jamais marqué sur son visage cascadaient que trop bien sur les reflets argentés des astres de cristal. Tel un prédateur, Ellana s'avanca, par des pas silencieux vers un rocher qui traînait sur le sol. Abandonné, tout comme elle... Elle y pris place, se recroquevillant sur ses genoux. Voilà maintenant deux-cents ans jour pour jour, heure pour heure qu'elle a été enfreint de quitté le paradis, descendre de ses lieux d'origines.

En se soir, tout fesait plus mal, le destin, si cruel jouait pour enfoncer la dague de sa douleur encore plus loin et plus profond dans son coeur meutri. Mais la pauvre déchu ne le sentait pas car, trop de fois elle avait été violantée, battue et déchirée par un nombre incroyable de ses anciens semblable. Elle avait fini par croire qu'elle était un monstre. Un monstre. Une horreur. Une terrible erreur. Son âme était si triste. Si consumé. Si...mort... Si mort qu'un seul rêve voyageait encore dans ses rares sommeils... Trouver la frontière absolue et la franchir. Toujours aller plus loin...

La nature, qui ressentait peu à peu sa détresse, recommancait à danser leur ritournelle nocturne pour rassurer la jeune femme qui était le centre d'interêt pour cette douce végétation.

Bien que la jeune femme voulait aussi retrouver ses ailes, elle savait que cette mission resterait à jamais impossible. Que son tendre aimé ne voudrait plus jamais la tenir dans ses bras et que jamais elle n'aurait la chance de retrouver son céleste origine. Elle n'était plus qu'un éden d'espoir et de désespoir. Un corps, démunie. Démunie de toutes pensées positives... Ellana n'était plus qu'un amas de chair que l'on nommait élue des ténèbres. Une note trop tenue qui ne désirait qu'être relaché. Plume au vent dans une volée d'oiseaux...

Ellana vivait il y a longtemps, voilà deux-cent ans qu'elle est morte...

(continuer, faite que quelqu'un arrive ou quelqu'un était déjà là, je sais pas moi ^^')

Par cette nuit de fraîcheur et de souvenir, cette nuit que la Lune avait bien voulu éclairé de sa pleine puissance, de tous ses rayons, une ombre de plus s'avança. Cette ombre, plus déterminé que la jeune dame, s'avançait d'un pas léger, et sa cape et son chapeau noir dansaient avec les lueurs clairs de l'astre lunaire.

Cet astre, c'était en quelque sorte le symbole du nouveau venu. Symbole de nuit, de surveillcne, d'intrigue et de pouvoir. Mais aussi un symbole haut dans le ciel, planant au-dessus de tout, sauf du soleil. Mais seul, dans cette immensité que certains appellent le ciel, d'autres la nuit. Oui, seule, la Lune n'avait jamais de visite, car personne n'était à sa hauteur.

Mais le nouveau venu n'était pas complètement seul, car une ange déchue, choisie par la déesse qu'il avait toujours adorée, était assie sur un arbre, recroquevillé, essayant tant bien que mal de se protéger des ténèbres. Mais la seule façon de le faire, c'est d'ouvrir la lumière, et la seule lumière qui était présente par cette belle nuit, c'était la pleine lune, et elle ne chasse par la noirceur, elle la représente.

Tout comme elle représentait cet être qui ne vivait pas vraiment, et qui se rapprochait de plus en plus de la jeune dame, qui "fêtait" son trépassement. Elle, qui ne le voulait pas vraiment, ne prenait aucune attention à l'arrivé d'un autre représentant des ténèbres, puisqu'elle savait qu'il ne lui ferait pas de mal, et mieux, qu'il la protègerait si il en avait l'occasion. Mais la seule chose qu'il fit cette journée là, c'est de venir s'asseoir près de l'ange déchu, et de la prndre dans ses bras pour la rassurer...

(hj: Suivant!)

Nuit de fête pour bien des gens, synonymes de peine pour trop d'évènement.

Lorsqu'Ellana se sentit doucement enveloper, bien que le nouveau venu possèdait un aura ténébreuse, elle se sentit rassurée un petit peu. Au moins, elle n'était pas seule. Peut-être démuni de tous se qu'elle voudrait possèder, mais pas seule. c'était l'unique choses qui la retenait en vie, la seule choses qui la poussait à faire battre son coeur.

Depuis l'ombrageuse arrivé de Melfick, les ombres des arbres avaient été complètement aspirés par la puissance de la réunion de ses êtres. Les feuillus ne pouvaient plus valser leur joie, ni tenter de rassurer la déchue.

Les plaies de son coeur avait été si subitement ouvertes que le sang qui coulait de ses blessures trouvaient aucun autre chemin que ses yeux, élargissant traîtrement ses macabres cicatrices.

Le vent s'en fut bientot loin, laissant une intimité parfaite, avec les autres signes de vie environnant. un silence trop parfait pour être naturel. un silence ténébreux et inquiètant. Un silence dont les deux voyageurs étaient la source.

L'élue était si parfaitement ombre que sa silouette se détachait un peu de l'obscurité. Sa silouette était flou mais trop magnifiquement déterminé pour que l'on puissent songé à ne pas la démarquer.

L'ami qui était venu lui offrir ses bras était si ténébreux que la jeune femme ne voyait pas l'interêt de discuté avec lui de se protéger de la noirceur. Une noirceur trop condensé dans son coeur de toute façon pour être partagé.

Elle fit défit de l'étrinte de son compagnon et déplier les genoux jusqu'à présent recroquevillé sur son abdomen. Après deux-cents ans, Ellana savait que retourner sur son sort ne changeait rien et que celà n'exsitait que plus la bête et l'immondice qui règnait en elle.

―Que viens-tu faire ici...? Melfixk...

Levé depuis que sa compagne temporaire s'était écarté, il répondit d'une voix grave, pleine d'assurance, mais aussi mystérieuse.

-Je ne suis venu que pour te voir, pour m'assurer que tu n'avais rien. Je mentirais si jamais je te disais que je comprenais ce que tu ressens, alors je ne dit seulement que je suis venu. La déesse t'as choisi pour une raison, et peut importe ce qui se passe, je ne veut pas que tu retourne de l'autre coté. Depuis un certain temps, elle ne pouvait pas s'occuper des archanges commes elle l'aurait voulu. Elle est habitué d'être la plus forte. La seule manière, le seul moyen de contrer tes anciens semblables sans s'en occuper elle-même, c'était d'en controler quelques-uns, car il n'y avait pas d'équivalent. Mais maintenant, c'est changé.

Elle t'as choisi car tu es une archange. Mais aussi pour faire certains tests, et c'est pour sa que tu as perdus tes ailes. Maintenant, il existe un équivalent noir pour contrer cette menace blanche. De cette nouvelle race de serviteurs, j'en suis le premier. Le premier archidémon à avoir vu le jour. Et ma première mission est de prendre soin de celle qui nous as aider, de la protéger contre les dangers, mêmes si ceux-ci viennent de son passé.

Melfick enleva alors sa cape, et déploya ses deux grandes ailes noir, dépourvu de plumes, griffues, et spéctaculeuses. Ces ailes devait mesurer près de deux mètres d'envergure, et devait facilement pouvoir lever le poids d'un homme.

-Il y a de cela 100 ans jours pour jours que je possède ce pouvoir. Ce n'est pas le seul, ni le plus effrayant, mais c'est la signature de se que je suis. Toi, tu n'as plus tes ailes, tu est une archange déchu, et toi aussi, tu as une signature bien précise.

De sa voix cassé au mille rêves détruit, elle répondit, calmement. Trop doucement.

― Une signature que je me serais permis de rejetter.

Lorsque celle-ci dévellopa ses ailes de plumes teintés d'encre, sa cape se tassa sur le côté. Dans une hymne de plume et d'écaille maléfique, l'un était le parfait complément de l'autre. Unis par la même déesse pour le même destin.

― Celon toi, serait-ce parce que j'ai toujours souhaité l'égaliter et la paix dans le monde que la déesse m'a choisi? Me choisissant pour accomplir un désir que je chérissait. Un désir qui se révèle maintenant être un cadeau empoisoné. meurtrier. traître.

Une lumière de feu brilla dans ses yeux noirs.

[ pas le temps de finir, je dois partir de l'ordi! Répond pareil]